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Vendée Globe: le dernier, Sébastien Destremau, acclamé pour sa remontée du chenal

Sébastien Destremau, dernier du Vendée Globe

Sébastien Destremau, dernier du Vendée Globe - AFP

Après 124 jours en mer, Sébastien Destremau en termine avec ce Vendée Globe 2017. Le skipper varois va retrouver la terre ferme aux Sables-d'Olonne ce samedi en début d'après-midi.

[13h22]

Le skipper de 52 ans est désormais en larmes. Pour rappel, il va retrouver la terre ferme après plus de 124 jours en mer. Il est le 18e concurrent à boucler ce Vendée Globe alors que 29 participants avaient pris le départ.

[13h17]

Le skipper varois fait durer le plaisir, ou plutôt l'équipe en charge de remorquer le bâteau de Sébastien Destremau !

[13h14]

Sébastien Destremau salue le public présent de la main, au milieu des klaxons.

[13h08]

Le live sur BFM Sport 

[13h06]

Dix-huitième et dernier classé du Vendée Globe 2017, Sébastien Destremau va enfin retrouver la terme ferme ce samedi en début d'après-midi, 50 jours après le vainqueur, Armel Le Cléac'h. Le skipper de TechnoFirst-faceOcean avait franchi la ligne d'arrivée dans la nuit de vendredi à samedi, à 1h40 du matin, mais il a été obligé d'attendre quelques heures supplémentaires pour remonter le chenal vers les Sables d'Olonne en raison de la marée. Une chose est sûre, Sébastien Destremau a hâte.

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Enfin le chenal

« J’ai hâte de découvrir le chenal… Je ne sais pas ce que ça veut dire. Je ne sais pas combien il y aura de personnes. Certains viendront pour m’accueillir, d’autres pour clôturer le Vendée Globe. Ça me donnera l’opportunité de les remercier un par un. Alors je ne pourrai pas le faire physiquement un par un, mais l’idée c’est ça, de les remercier un par un, parce que sans leur soutien, on n'aurait pas de Vendée Globe ni de concurrents … Chaque personne du public qui sera là ce samedi après-midi est importante... », a-t-il expliqué samedi matin au micro de RMC.

Une dernière heure très longue

Là où le vainqueur Armel Le Cléac'h a eu besoin de 74 jours pour boucler ce Vendée Globe, Sébastien Destremau a mis 50 jours de plus. Mais le skipper varois ne prête pas plus d'importance à ce classement. « Que ce soit 110 jours, 125 jours, 80 jours, c’est pareil. Sur le Vendée Globe, les trois premiers jours sont difficiles et les trois derniers le sont aussi parce qu’on a envie d’arriver. Entre les deux, que ça dure 80, que ça dure 60 ou que ça dure 120 jours, c’est exactement pareil. C’est comme un long voyage, un long courrier ou un long voyage en voiture… La première heure est longue, la dernière aussi...», a déclaré Destremau.