
Asloum : « Nos athlètes français vont le payer »

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Depuis mardi, le Paris United n’est plus, alors que le championnat WSB ne cesse de grandir, incluant désormais l’Argentine, la Pologne, l’Angleterre ou l’Ukraine. Malgré son engagement sans faille, Brahim Asloum, président depuis 2010, regrette le manque de soutien autour de la franchise française. « C’est un championnat qui prend de l’ampleur et je suis déçu que la France n’ait pas su accrocher ce wagon. Malheureusement, on sera encore spectateurs et ceux qui vont le payer sont nos athlètes français, s’exaspère Brahim Asloum, président de la franchise. J’ai mis mes deniers personnels les deux premières années. Mais à un moment donné, je ne suis pas milliardaire. J’ai tout de même eu du monde derrière moi. Les seuls qui ne m’ont pas soutenu et ne sont pas venus, c’est ma propre fédération. C’est assez incohérent »