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2 images, 2 visions du handball à Pékin...

D'un côté, Olivier, KO debout de bonheur; quelques heures après sa médaille d'or olympique conquise en maître Cap'tain avec l'équipe de France masculine. Les garçons étaient comme sonnés, ivres de joie (et c'était un peu avant la vraie ivresse des dizaines de pots bus à leur propre gloire avec tout le Club France) ! Un moment magique aussi pour les supporters et les français expatriés qui avaient rejoint la maison France pour fêter la dernière médaille française.

De l'autre, l'oeil de Nina Kanto, le lendemain de leur élimination en quart de finale. La pauvre avait vraiment morflé, Les Russes les ont brisé (l'arbitrage aussi !) et outre son superbe coquard, elle avait aussi une côté brisée et surtout le coeur en écharpe, comme le reste de l'équipe féminine qui oscillait entre rires et larmes, le soir de la victoire des hommes.

C'est Olivier (Girault) qui résumait le mieux ce que leurs "nanas" ressentaient : - On étaient dans le même état il y a quatre ans à Athènes. Par moments, on relativisait, et à d'autres, on étaient complètement cassés. On s'en voulait tellement d'être passé à côté. Je comprends tellement ce qu'elles ressentent" !

4 ans après, les gars ont pris leur revanche... T'inquiète Nina ! Dis aux copines que votre tour viendra !

Maryse