
Leveaux, c’est pas la joie

Amaury Levaux, comment se sont passées les séries du 50 m NL ?
Je ne me suis concentré que sur les quinze premiers mètres, et après j’ai respiré plusieurs fois et j’ai fini les vingt derniers mètres en faisant des ondulations à la place des battements. Je me suis plus amusé qu’autre chose. Je n’ai pas essayé de nager vite…
Comment vivez-vous ces Mondiaux ?
A Pékin, j’étais devant avec quelques uns, là ce sont les autres. Il faut bien que ça tourne…
C’était important de participer à ce 50 m nage libre ?
Oui et non…
Pourquoi avez-vous décidé de rester à Rome ?
Je fais partie de l’équipe de France. Je ne sais pas…
Vous vous sentez entouré ici ?
Apparemment, ils sont là oui. Mais après j’ai mes amis, ma famille et ma copine. Ce sont eux qui importent surtout.
Quelles sont vos ambitions cet après-midi en demi-finales du 50 m nage libre ?
Que ça passe dans la facilité. Pour que je puisse m’amuser comme ce matin.