
Le mea-culpa de Krumbholz

Olivier Krumbholz, hier, face à l'Angola - -
Troisièmes du Groupe 1, les françaises ont grillé leur unique joker. Les Tricolores doivent désormais remporter deux des trois prochains matchs (Macédoine, Norvège et Russie) pour disputer les quarts de finale de son Mondial. De son côté, Olivier Krumbholz ne cherche aucune excuse : « On peut faire toutes les analyses qu’on veut. Sur le plan tactique, je ne suis pas content. Je me suis laissé gagner par l’énervement dans un match aussi important. Je vais continuer à manager mais on est toujours plus performant quand on arrive à faire abstraction de l’environnement et plus particulièrement de l’arbitrage. Pour les joueuses, il n’y a rien de plus terrible de voir s’échapper un match qu’on maîtrise. C’est très dur psychologiquement. Le stress agit sur le talent, le physique. Ca a été très difficile à gérer. »