
Stambouli: "Il n’y a plus photo entre le PSG et l'OM"

- - AFP
Le prestige du PSG
« Evidemment, je sais que j’arrive dans un club de dimension mondiale, et j’ai déjà pu me rendre compte de l’impact du club à travers le monde, lors de ce séjour américain. J’avais peu connu cela en Angleterre, mais là c’est à une toute autre échelle. Je change moi-même de dimension du coup. »
Son expérience à Tottenham
« Je n’ai pas eu beaucoup de temps de jeu en Premier League, j’ai davantage joué en Europa League et en Cup. Vivre cette aventure à l’étranger m’a rendu fort, c’était nécessaire, et ça va me permettre de m’adapter plus vite ici. En tant que footballeur, j’aurai préféré jouer tous les matchs, parce que je suis un compétiteur. Mais je garde un très bon souvenir de mon expérience anglaise, du don de soi et du travail acharné au quotidien. »
Son positionnement sur le terrain
« Mon poste préférentiel est en pointe basse, milieu défensif juste devant la défense, là où le coach me trouve à ma meilleure place d’ailleurs. J’ai parfois évolué à des postes différents, pour me mettre au service du collectif. C’est essentiel pour moi d’être polyvalent. »
Les critiques sur son arrivée à Paris
« Ce n’est pas blessant. C’est même compréhensible. Et puis au PSG on a plus l’habitude de voir des joueurs qui excellent dans leur équipe. Maintenant, je pense que si l’on me fait confiance, c’est sur la base de mes qualités. Et puis ce qui est sûr, c‘est que je n’ai pas perdu mon temps en Angleterre, j’ai joué avec de grands joueurs et dans des matchs importants. J’ai beaucoup appris. C’est plus ou moins une source de motivation d’entendre cela. Ce n’est pas ça qui me nourrit vraiment, mais j’ai hâte de montrer ce que je sais faire. »
La comparaison avec l’OM
« Je pense qu’il n’y a plus photo. On sait que l’image du PSG aujourd’hui est mondiale et que sur la scène européenne elle est très importante. On sait qu’on est un club qui vise à soulever la coupe aux grandes oreilles. Le PSG aujourd’hui a un niveau de jeu qui surpasse les équipes françaises, à nous de perpétuer ce rituel-là et de pouvoir continuer à accélérer. »