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L’OL cale encore à domicile

L'attaquant argentin sauve l'OL une fois de plus.

L'attaquant argentin sauve l'OL une fois de plus. - -

Tenu en échec par le Stade Rennais (1-1), l’Olympique Lyonnais a une fois de plus laissé échapper des points à domicile ce dimanche soir.

Lyon n’est plus maître de son territoire. Les Rhodaniens ont concédé le match nul ce dimanche face au Stade Rennais (1-1). Depuis son succès face à Toulouse (2-1), le 26 septembre dernier, Lyon n’a plus connu la victoire à Gerland. Et les joueurs de Claude Puel n’ont pas su inverser la tendance hier soir.

Dès l'entame du match, les Lyonnais ont semblé gênés par le bon quadrillage du terrain des Rennais. Ces derniers ont su profiter des flottements dans l’axe de la défense lyonnaise pour jouer en profondeur. Une tactique qui a payé dès la 14e minute. Le Ghanéen Gyan, bien lancé par Bangoura, s’est retrouvé seul face à Lloris, et a placé une belle frappe croisée pour ouvrir la marque. 

La première occasion était donc la bonne pour les Rennais. Paradoxalement, c’est en étant mené que Lyon s’est réveillé. Le coup-franc de Miralem Pjanic est passé tout près des buts du jeune Rennais Abdoulaye Diallo (17 ans), qui a suppléé au coup d'envoi Nicolas Douchez, blessé à la cheville. Lyon a su réagir sous l’impulsion de Lisandro Lopez. L’Argentin, de tous les bons coups, s’est démené pour remettre les siens à hauteur. L’ancien attaquant de Porto était justement récompensé de ses efforts, sur un somptueux coup-franc dans la lucarne (42e). 

En seconde période, la partie est retombée en intensité. Aucune des deux équipes n’a semblé vouloir se livrer. Mais chacune a eu l’opportunité de l’emporter dans les dix dernières minutes. Côté Rennais, Lemoine a tiré à côté (88e). Avant lui, Bruno Cheyrou est tombé sur un Lloris décisif (82e). L’attaque lyonnaise n’était pas plus en réussite. Parti à la limite du hors-jeu, Bafetimbi Gomis a vu sa frappe repoussé par Diallo sur sa transervsale (89e). Au final, le partage des points était donc logique. Même si finalement, il ne contente personne.

La rédaction