
Angers-PSG, les tops et flops: Di Maria flambe, Monaco ne doit pas se rater

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TOPS
Di Maria s’est occupé de tout
Il avait des jambes et s’est montré dans la plupart des bons coups de son équipe, qu’il a en grande partie provoqué. Angel Di Maria confirme journée après journée qu’il n’est plus le fantômatique ailier qu’il était lors de la première partie de saison. Il s’est fait justice lui-même en transformant la faute qu’il avait obtenu d’un coup franc somptueux (28e), avant de soulager définitivement son équipe sur un contre express parfaitement mené par Lucas, avec la complicité de Cavani (84e). La défense du titre pour le PSG passera par la montée en régime de ses cadres… Un message parfaitement compris par Angel Di Maria, auteur de son 4e but en Ligue 1 cette saison.
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Trapp était vigilant
Il le fallait. Car si Angers n’a pas marqué ce vendredi soir, il en est le premier responsable. Lorsque le SCO a poussé, les hommes de Stéphane Moulin ont trouvé sur leur route les gants de l’Allemand. Vigilant sur une tentative culottée de Pepe (11e), l’Allemand se détend à merveille pour écarter une tête de N’Doye qui filait tout droit sous sa barre transversale (72e). Di Maria et lui auront été les grands bonhommes de la soirée pour le club de la capitale.
Paris a rempli son contrat
Non sans mal. Car outre Pastore, d’autres joueurs ont eu des difficultés sur la pelouse du stade Raymond-Kopa. On pense notamment à Maxwell. Mais l’essentiel est sauf pour Paris, qui est condamné à gagner à chaque journée pour espérer détrôner Monaco sur le fil. Avec ce septième succès lors de ces sept derniers déplacements, le PSG est là où il voulait être avant les matchs du week-end, à la hauteur de l’ASM. C’est désormais avec beaucoup d’attention que les protégés d’Unai Emery observeront ce que feront les Monégasques, à domicile, devant Dijon ce dimanche (21h).
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FLOPS
Pastore sur courant alternatif
Sorti à la 68e minute de jeu et remplacé par Lucas, Javier Pastore a livré un match inégal sur la pelouse d’Angers. « El Flaco » s’est montré disponible mais inspiré seulement par intermittences. S’il a offert une balle de but à Edinson Cavani, que ce dernier a vendangé (43e), l’Argentin a eu du mal à se montrer constant et a perdu énormément de ballons (17, pour 67 % de passes réussies). Bref, pas du grand Pastore.
Thomas, la faute qui coûte cher
Averti très tôt dans le match pour être venu gêner un dégagement de Trapp (12e), Romain Thomas a frôlé le renvoi prématuré aux vestiaires, en attrapant la jambe de Di Maria à une vingtaine de mètres de son but. Une erreur pas sans conséquence puisque sur le coup franc, l’Argentin ouvre le score. Mieux en seconde période, lorsque son équipe a pris le jeu à son compte. Mais le mal était déjà fait.
Angers pas récompensé face aux gros
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Contre Monaco, ils avaient été dominateurs en première période, avant de devoir s’incliner face au leader du championnat. Une semaine plus tard, les Angevins ont encore perturbé un gros, dans des largeurs moins importantes. Mais comme face à l’ASM, le SCO aurait certainement mérité mieux que ce 2-0 sec. Les partenaires de Diedhiou ont montré de belles choses, notamment en seconde période, en proposant du jeu -n’en déplaise à leurs détracteurs- mais en péchant encore dans la finition. Cette fois, ce n’est pas un crochet un peu tendre de Diedhiou, justement, qui a fait défaut aux Angevins, mais un manque de précision de l’intéressé (52e), la présence de Trapp sur sa ligne (11e,72e), et un peu de chance, à l’image de ce but refusé à Toko-Ekambi pour une faute de… Diedhiou sur Aurier (39e).