PES League: un Français sacré champion d'Asie...sur les terres de PES !

La première étape de la PES League, le championnat du monde sur la licence de football Pro Evolution Soccer, s'est déroulée ce week-end au Japon. Elle a consacré un Français, Jérémy "Tiomit" Bruniaux, déjà présent aux Mondiaux, à Londres et Cardiff, en mai dernier.

Le symbole est grand. Beau. Fort. Car il y a des succès qui marquent forcément plus que d'autres. Surtout quand on est fan. Fan d'un jeu que l'on a écumé ("brûlé" comme disent les jeunes now), essoré même pendant des années et que l'on s'impose en compétition sur la terre natale de ledit jeu en question. C'est ce qui s'est produit ce dimanche, lorsque Jérémy Bruniaux a soulevé le trophée de l'Asia Round Tour, la première étape continentale de la PES League, le championnat du monde esportif sur la licence de football Pro Evolution Soccer. Le Français, membre de la structure PW eSports, venait de réduire la concurrence à néant et d'être sacré champion d'Asie... de PES !

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Pendant deux jours, les 16 meilleurs joueurs du monde - les 8 finalistes de la finale mondiale 2017, disputée à Londres et Cardiff en mai dernier et les 8 meilleurs joueurs de la première phase de qualifications online - avaient rendez-vous à Tokyo, au Japan Football Museum. Disputée sur le fameux mode de jeu PES League (avec des équipes au niveau homogéneisé, de manière à ne pas léser une équipe par rapport à une autre), la compétition a vu, en plus de Jérémy "Tiomit" Bruniaux, deux autres représentants français se mêler à la lutte : Lotfi "Neo_Lotfi" Derradji, lui aussi présent en mai dernier à la finale mondiale et Jérémy "Neo_Kampfer" Jaeger.

Ces deux joueurs, coéquipiers au sein de la même structure, n'ont pas eu la même réussite que "Tiomit". Placé dans la poule de la mort, avec le champion du monde en titre, le Brésilien "GuiFera", le second payait un goal-average particulier défavorable au moment de passer les poules, alors que le premier voyait lui aussi les portes du tableau final se refermer devant lui, malgré un succès renversant sur l'un des favoris de l'épreuve, l'Italien "Ettorito97" (2-1). 

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Solide nerveusement, Tiomit aura donc géré tout au long de la compétition. Une victoire aux tirs au but en quarts (1-1, 3 tab 1), un succès après prolongation en demies (1-0) et une victoire tout aussi étriquée en finale (1-0) et le tour était joué pour le Français, qui a d'ores et déjà décroché son succès pour la prochaine finale continentale, l'Americas Round Tour, au mois de mars. Et s'est rapproché, avec les points obtenus, d'une qualification pour la finale mondiale. Pour y briller cette fois.

Ces deux joueurs, coéquipiers au sein de la même structure, n'ont pas eu la même réussite que "Tiomit". Placé dans la poule de la mort, avec le champion du monde en titre, le Brésilien "GuiFera", le second payait un goal-average particulier défavorable au moment de passer les poules, alors que le premier voyait lui aussi les portes du tableau final se refermer devant lui, malgré un succès renversant sur l'un des favoris de l'épreuve, l'Italien "Ettorito97" (2-1). 

Solide nerveusement, Tiomit aura donc géré tout au long de la compétition. Une victoire aux tirs au but en quarts (1-1, 3 tab 1), un succès après prolongation en demies (1-0) et une victoire tout aussi étriquée en finale (1-0) et le tour était joué pour le Français, qui a d'ores et déjà décroché son succès pour la prochaine finale continentale, l'Americas Round Tour, au mois de mars. Et s'est rapproché, avec les points obtenus, d'une qualification pour la finale mondiale, cet été. Pour y briller cette fois.

VIDÉO. Le récap de la finale mondiale

Alix Dulac