
Armstrong s’explique et s’en prend à l’AFLD

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« Je n'ai pas tenté de me soustraire ou de retarder le contrôle ce jour-là (le 17 mars, ndlr) », a expliqué Lance Armstrong. « Je revenais simplement d'une journée d'entraînement, je n'étais pas sûr de qui était ce Français à ma porte, et dès que l'UCI m'a confirmé qu'il était bien autorisé à réaliser un contrôle, je l'ai laissé prendre tous les échantillons qu'il réclamait », a poursuivi le Texan pour justifier les vingt minutes d'attente du médecin-préleveur de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).
« Je trouve incroyable d'avoir été testé 24 fois sans incident et que le premier test fait en France donne lieu à d'outrageuses accusations et des fuites négatives dans la presse », a estimé le septuple vainqueur du Tour de France, qui y voit "juste un autre exemple de la conduite inappropriée des organisations françaises antidopage".
« Je suis désolé qu'elles soient déçues que tous les contrôles soient négatifs, mais je n'utilise pas de produits ou substances interdites », a conclu le coureur de 37 ans.