
GP d’Italie: Hamilton, la 40e rugissante

- - AFP
Hamilton, taille patron
Comme l’an passé, le Grand Prix d’Italie a souri à Lewis Hamilton ce dimanche. Le pilote Mercedes, vainqueur des trois séances d’essais libres puis des qualifications, a dominé la course de bout en bout, pour s’imposer devant Sebastian Vettel (Ferrari) avec 25 secondes d’avance. Qui plus est, le champion du monde en titre a creusé un bel écart au général, puisque son coéquipier et dauphin au général, Nico Rosberg, a été contraint à l’abandon. L’Allemand, qui tentait de s’offrir Vettel a vu son moteur (utilisé pour la sixième fois) céder à deux tours de la fin. Le vice-champion du monde en titre compte désormais 53 unités de retard au général.
Les Ferrari réjouissent les tifosi
Les tifosi ont également pu clamer leur bonheur et saluer la performance de Sebastian Vettel. Seulement inquiété quelques tours par Rosberg, l’Allemand a conquis une jolie deuxième place qui lui permet de revenir à 21 points de son compatriote au général. Mais son coéquipier Kimi Raïkkönen n’a pas non plus démérité. Après avoir calé sur la grille de départ, où il était posté en troisième position, le Finlandais a effectué une remontée tonitruante de la 20e à la 5e place, derrière les Williams de Felipe Massa et Valtteri Bottas.
Grosjean tombe de haut
Les Grands Prix se suivent mais ne se ressemblent pas pour Romain Grosjean. Deux semaines après sa belle troisième place à Spa (Belgique), le Français a été contraint à l’abandon dès le début de la course. Tout comme son coéquipier Lotus, Pastor Maldonado, Grosjean a dû rendre les armes, après des contacts dans la première chicane.