
Buenos Aires attrape la fièvre
Samedi, c’est le grand jour pour les 430 engagés qui vont participer à l’édition du Dakar 2011. Dans les rues de la capitale argentine règne une ambiance folle. Tous attendent le départ de cette course mythique.
Samedi, c’est le grand jour pour les 430 engagés qui vont participer à l’édition du Dakar 2011. Dans les rues de la capitale argentine règne une ambiance folle. Tous attendent le départ de cette course mythique.
Vainqueur du Dakar à trois reprises (2005, 2007 et 2010), Cyril Despres sera une nouvelle fois l’un des favoris de l’édition 2011. Mais le motard français, qui découvre sa KTM 450cc, se méfie de la nouvelle réglementation et de ses nouveaux adversaires.
Alors que le Dakar s’élance samedi de Buenos Aires, le directeur sportif de l’épreuve confirme la volonté des organisateurs du célèbre rallye-raid de s’étendre au reste de l’Amérique du Sud. Le Brésil, mais aussi le Paraguay et le Pérou, sont dans le viseur pour l’édition 2012.
Alors que le départ du troisième Dakar sud-américain sera donné samedi, Buenos Aires se prépare tranquillement à accueillir la caravane et les participants.
Depuis jeudi et pendant deux jours, les participants au Dakar soumettent leurs véhicules aux vérifications techniques. Un exercice de routine qu’ils vivent pourtant la peur au ventre.
Hugo Payen s’élancera pour la cinquième fois à l’assaut du Dakar le 1er janvier prochain à Buenos Aires (Argentine). Après deux abandons précoces les années précédentes, le pilote amateur de 39 ans espère terminer l’aventure sud-américaine au guidon de sa KTM.
Pour la troisième année consécutive, Christian Califano enfourchera sa moto à partir du 1er janvier sur les pistes sud-américaines du Dakar. L’ancien pilier du Stade Toulousain, récemment aperçu dans Pékin-Express, vise… l’avant-dernière place !
Yannick Guyomarc’h a 36 ans. Ce père de famille, pompier de Paris, va disputer cette année son sixième Dakar. Il raconte ses galères d’amateur prêt à tout pour vivre son rêve.
Le Dakar s’élancera de Buenos Aires le 1er janvier prochain. Le directeur de la course, Etienne Lavigne, dessine les grands contours de cette troisième édition sud-américaine et réfute pour l’instant la possibilité d’un retour en Afrique.